Comunicado: El origen de este día como celebración y fiesta nacional de todo el reino español, significa para nuestros pueblos originarios y para las personas afro e indígena descendientes, una y otra vez, la pervivencia y reinvención de un proyecto de civilización genocida.
No contentxs con el genocidio y masacre de parte de los pueblos originarios de Abya Yala y de su cosmovisión, recurren a la esclavización de nuestros hermanos y hermanas del continente africano. Sus hoy llamadas potencias europeas colonizaron y siguen colonizando el mundo con estas prácticas.
Hoy son las trasnacionales, las instituciones de control social y las personas que se benefician de la herencia de ese mundo colonial, las que siguen alimentando los mercados europeos, su comodidad, opulencia y derroche. Los métodos genocidas de despojo, esclavización y despilfarro son más sofisticados, pero en esencia iguales.
Empresas vascas, catalanas o españolas, empresas alemanas, empresas francesas, inglesas, holandesas…todas ellas se benefician de un genocidio que no para ni se detiene. Las empresas de armas del País Vasco perpetúan las masacres que se ejecutan con el mismo sistema de hace 500 años. De ahí el asesinato sistemático de líderes y lideresas en nuestros territorios, la persecución policial en el Estado español o en nuestros propios barrios vascos, la criminalización y las violencias racistas que todo el tiempo y a diario viven nuestros cuerpos no blancxs.
La celebración del 12 de octubre tiene origen Ultraderechista. Primero el mito de “hispanidad” con un tal Ramiro de Maetzu destinado a Argentina por el dictador Primo de Rivera y, después, la oficialización de la fecha como “Día de la Hispanidad” en 1958, durante la dictadura fascista de Francisco Franco.
Sin embargo, señalamos también a las clases políticas de izquierdas, a los movimientos sociales abanderadas feministas/anarkas/okupas/anticapitalistas, etc, y a las personas blancas cuyos llamados actos revolucionarios no dejan de ser prácticas que legitiman el poder colonial.
Hoy quienes nos encontramos y abrazamos en el Movimiento Antirracista de Euskal Herria resistimos y denunciamos la vigencia colonial y racista de Europa, disfrazada de derechos, inclusión y civilización.
Lo hacemos desde nuestra condición de personas migradas, racializadas, perseguidas y refugiadas, ilegalizadas, hijxs de personas migrantes, de pueblos originarios, africanes, afrodescendientes, champurrias*, mestizas, adoptadas, cis*, no binarias*, discapacitadas, trans, trabajadoras sexuales, hijas de trabajadoras sexuales, cyborg*, monstruxs y hacedoras de toda una economía sumergida por la cual morimos en los campos, en fronteras, en los mares o en CIEs (cuidadoras, temporeras, manteras…), quienes decimos nuevamente: NO HAY NADA QUE CELEBRAR, HAY MUCHO POR REPARAR Y MUCHO POR DESCOLONIZAR.
Haugukegitendugu: migratzaileak, arrazializatuak, pertsegituak eta errefuaxiatuak, legezkanpokoak, migratzaileen seme-alabak, jatorrizkoherrietakoak, afrikarrak, afroondorengoak, txanpurriak, mestizoak, adoptatuak, cisak, ezbinarioak, ezinduak, transak, sexu-langileak, cyborgak, munstroaketa eskutukoekonomia baten bultzatzaileakbezala, zeinarenbidezzelaietan, itsasoanedoCIEsetan (zaintzaileak, tenporeroak, manteroak..) hiltzengara. Gukgeukesangoduguberriro: ezdagoezerospatzeko, askodagokonpontzeko eta askodekolonizatzeko.
La journée de l’espanité ne se célèbre pas, sa se denonce avec toutes la force et la rage anticolonialiste
Aujourd’hui et depuis des siècles, nous disons: IL NY A RIEN À CÉLÉBRER
À l’origine de cette journée comme célébration et fête national de tout le royaume d’Espagne signifiant pour nous peuple originaire, afro et indigenedescendant, une fois de plus la providence et la réinvention d’un projet de civilisation génocidaire.
Le 12 octobre symbolise l’extrativisme territoriale, corporelle et épidermiques,ainsi comme le pillage des peuples que les académies européenne et la suprématie blanche ont décidé d’appeler : SOUS GLOBAL, NON DÉVELOPPÉS ou SAUVAGES.
PAS contant du génocide et massacre du peuple originaire de ABYA YALA et de son cosmos vision, l’esclavitude de nos frères et soeurs du continent africain.
Les même aujourd’hui, appeler puissance européenne ont colonisés et continuent à coloniser le monde avec ces même pratiques.
Aujourd’hui se sont le transnationales et les institutions de contrôle social et des personnes qui se bénéficient de l’héritage de ce monde colonial et qui continuent à alimenter les marchés européens, sa commodité, son opulence et son gaspillage.
Les méthodes génocidaires reste toujours, l’esclavitude et le gaspillage sont sont désormais tres sophistiqué.
Les entreprises basque, catalans, ou espagnols, les multinationales françaises, allemands, hollandaises tous bénéficient d’un génocide qui .one s’arrête pas ni se détient.
Les entreprises de fabrication d’arme du pays basque perpétuent les massacres qui s’exécute avec le même système depuis 500 ans.
Et de là viennent les assassinats systémiques de nos leaders dans nos territoires, les persécutions policières dans nos sous quartier au pays basque, la criminalisation et les violences racistes répétées et tous les jours dans corps NON BLANC.
La célébration du 12 octobre a pour origine le mythe de la » hyspanidad» avec un certain RAMIRO DE MAETZU envoyé en Argentine par le dictateur cousin de RIVERA et apres la officialisation de la date comme journée de l’Espanité en 1958, durant la dictature fachiste de FRANCISCO FRANCO.
Cependant nous signalons aussi la classe politique de la gauche, aux mouvements sociaux, aux collectifs féministes, anarchistes, aux squatteurs, aux anticapitalistes etc… et aux personnes de race blanche que les appels aux actes de revolution ne laisse d’être les pratiques qui légitime le pouvoir colonial.
Aujourd’hui nous qui nous réunissons et ambrassons le mouvement antiracisme du pays basque, nous resistons et dénonçons la validité colonial, raciste de l’Europe,déguisé en droit, inclusion et civilisation.
Nous le faisons dans nos conditions d’immigrés, racialisé , persécutés et réfugiés, des peuples originaires, africains, afrodescendants, metisses, adopté, handicapés, travailleuses sexuelles, cyborgs et faiseur d’une économie submergé dans la qu’elle nous mourrons dans les camps, les frontières, les mers et les centre de rétention des étrangers ( les travaux domestiques, champêtres et vente à la sauvette etc…)
Nous disons de nouveau: IL NY A RIEN À CÉLÉBRER, IL Y’A BEAUCOUP À RÉPARER ET BEAUCOUP À DÉCOLONISER!